Philippe LOZE
Auteur-photographe-plasticien
Je pratique l'art numérique, la photographie et l'écriture.
Suite à une déconvenue, j'ai décidé de libérer mes images.
Aller de ce qu'elles "se devaient d'être" pour tendre vers ce qu'elles "pouvaient être",
et essentiellement, ce que j'avais envie "qu'elles soient".
Le point de départ est la photographie traditionnelle.
Aujourd’hui, elle me sert de support, d’argile, pour aller vers une création, plus graphique, plus intime.
Mon travail intègre autant la contemplation que le mouvement, en se jouant intentionnellement de la lumière,
des formes et des couleurs.
J’explore les chemins de l’abstraction pour dépasser le beau et le figuratif
au profit de l’expression des sentiments profonds relatifs a mon parcours d’humain.
Le texte naît de la rencontre avec l’image.
Il s’en inspire, s’en nourrit, s’y associe, s’y confond.
De temps en temps, c’est l’image qui illustre l’écrit.
Mon univers prend ses sources dans deux mondes que je connais bien : les chevaux et le bord de mer. Il s’enrichit en abordant particulièrement les thèmes de la solitude et de l’abstraction.
J'ai découvert du travail de Hernst HASS et de sa série "classic motion".
Lui et d'autres, bien avant moi, ont fait ce choix :
"Lassé de la réalité évidente, je trouve ma fascination à la transformer en un point de vue subjectif" (E HASS)
Ils valident ainsi mon cheminement.
Je peux alors essayer d'ajouter mon petit caillou à l'édifice.
Influences :
Ernst Hass, Yves Klein, Miró, Picasso, Giacometti
Mon inspiration : la vie dans chaque soupir.
Je suis par nature un contemplatif. C'est un handicap dans une société basée sur la performance et la compétition.
La photographie est un des rares domaines ou cela est "peut-être" un avantage.
Chaque instant de notre Vie est essentiellement irremplaçable : sache parfois t'y concentrer uniquement.
(André Gide)
Le temps d'un cliché, d'une pause, d'une respiration.
La photo, c'est l'instant présent, pour longtemps.
Ma "maxime" de travail :
Hâtez-vous lentement, et sans perdre courage, vingt fois sur le métier, remettez votre ouvrage,
Polissez-le sans cesse, et le repolissez, ajoutez quelquefois, et souvent, effacez.
Nicolas Boileau
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